Versions Compared

Key

  • This line was added.
  • This line was removed.
  • Formatting was changed.
Wiki Markup
!Chartreuse National Park2.jpg|thumbnail,align=center!
Photo _Parc national de Chartreuse_ par Jane Riddell


*{_}Les démarches d'investigation dans l'enseignement scientifique{_}*
*{_}Effets du travail collectif enseignant sur les pratiques de classe{_}*
*{_}Effets des pratiques de classe sur les acquisitions des élèves{_}*

[Télécharger le document|^Bilan_JE S-TEAM_Octobre2009.pdf]


<!-- 		@page { margin: 2cm } 		P { margin-bottom: 0.15cm; text-align: justify; page-break-before: auto } 		P.western { font-family: "Arial", sans-serif; font-size: 10pt } 		H1 { margin-top: 0cm; margin-bottom: 0.21cm; text-align: justify } 		H1.western { font-family: "Arial", sans-serif; font-size: 11pt } 		H1.cjk { font-family: "Lucida Sans Unicode"; font-size: 16pt } 		H1.ctl { font-family: "Tahoma"; font-size: 16pt } 		H2 { margin-left: 0.46cm; margin-top: 0cm; margin-bottom: 0.11cm; text-align: justify } 		H2.western { font-family: "Arial", sans-serif; font-size: 10pt; font-style: normal } 		H2.cjk { font-family: "Lucida Sans Unicode"; font-size: 14pt; font-style: italic } 		H2.ctl { font-size: 14pt; font-style: italic } 		TD P { margin-bottom: 0cm } 		TD P.western { font-family: "Arial", sans-serif; font-size: 8pt } 	-->

Les journées d'étude S-TEAM se sont tenues du 20 au 22 octobre 2009, à l'IUFM de l'Académie de Grenoble. Elles sont organisées par le Laboratoire des Sciences de l'Éducation (L.S.E. UPMF & UJF-IUFM) qui assure la responsabilité nationale du projet et bénéficient de l'étroite collaboration des laboratoires ICAR (Lyon Lumières & CNRS) et CREAD (UBO), les deux autres partenaires français de S-TEAM.

Le bilan qui suit montre que les objectifs fixés aux journées sont atteints. Les participants sont nombreux (125), ils sont concernés par l'enseignement scientifique à divers titres (recherche, formation, encadrement, enseignement, étude, responsabilité politique) et viennent de nombreuses équipes françaises (16). Ils se disent satisfaits des journées (82%), en termes de déroulement et de contenus. Après les journées, ils estiment avoir acquis des connaissances sur les démarches d'enseignement des sciences et se fixent des projet de développement. Enfin, des coopérations inter-institutionnelles résultent des journées.

h1. Ce qui est attendu

*Le but général* est de faire le point sur les dispositifs de formation, initiale et continue, et de collaboration des enseignants en ce qui concerne l'implantation de méthodes d'investigation en sciences et sur les modalités d'évaluation de leurs effets. Cette première étape vise, à la fois, à faire connaître le projet et à mobiliser le réseau des chercheurs et des équipes de terrain travaillant sur la question de l'amélioration de l'enseignement des sciences. Les journées ont trois objectifs :

1\- Identifier les stratégies d'enseignement des sciences qui, tout en développant les activités d'investigation des élèves et en tenant compte de leur diversité, provoquent des apprentissages de meilleure qualité, en termes de connaissances, de compétences ou d'attitudes vis-à-vis des sciences.

2\- Comprendre les conditions qui font que le travail collectif enseignant, les ressources pour l'enseignement ou les dispositifs de formation conduisent à une modification des pratiques et des acquisitions des élèves, en termes de connaissances, de compétences ou d'attitudes vis-à-vis des sciences.

3\- Confronter les instruments d'analyse des différents aspects de l'enseignement des sciences&nbsp;: d'une part, la catégorisation des pratiques enseignantes&nbsp;; d'autre part, l'évaluation de la motivation, l'estime de soi, la métacognition et l'attitude des apprenants vis-à-vis des sciences.

h1. Ce qui a été réalisé


h2. L'après-midi jeunes recherches

Elle rassemble environ 50 personnes dont 35 enseignants débutants de mathématiques.

L'après-midi est ouverte par le responsable français du projet qui explique les objectifs de S-TEAM. Les participants se séparent en deux ateliers. Seules six communications ont été retenues de manière à faciliter les interactions. Le premier atelier est consacré aux démarches d'investigation dans l'enseignement des sciences : deux communications portent sur les démarches d'investigation en mathématiques&nbsp;; la troisième porte sur l'enseignement de la chimie. Le deuxième est consacré aux conditions du travail collectif enseignant&nbsp;: une communication permet de présenter une investigation qui sera menée dans le cadre de S-TEAM auprès des enseignants débutants.

L'après-midi est clôturée par le responsable français du projet et la directrice du comité scientifique des journées qui font une synthèse des communications. Ils mettent en avant la qualité des recherches en cours, l'intérêt des démarches d'investigation en mathématiques qui ont été présentées et la complexité de l'étude des aspects collectifs du travail enseignant.

h2. La journée principale

Elle rassemble 90 personnes environ &nbsp;: de nombreux formateurs en IUFM, des universitaires, des étudiants, des enseignants, des inspecteurs et quelques représentants des collectivités territoriales.

La journée est ouverte par le responsable et les partenaires français du projet. Ensuite, au nom de leur institution respective, les représentants des organismes qui ont soutenu les journées expliquent en quoi l'amélioration des conditions de l'enseignement des sciences est important.

Le premier conférencier montre que cette volonté existe depuis fort longtemps dans le système scolaire&nbsp;; il expose des modèles d'analyse récents qui permettraient d'étudier les démarches d'investigation en évitant les écueils rencontrés par les tentatives précédentes.

Le deuxième conférencier pose le même type d'alerte à propos du travail collectif enseignant, toujours sollicité dès qu'un problème se pose au système. Il montre que les enseignants peuvent s'engager avec profit dans un travail collectif lorsque ce dernier leur donne l'occasion de  réfléchir et d'agir directement sur des problèmes professionnels spécifiques.

Les ateliers de l'après-midi sont au nombre de 6 et regroupent les 18  communications sélectionnées autour des trois objectifs des journées. Chaque communication est suivie d'un débat et chaque atelier se termine par une synthèse proposée par les deux médiateurs.

La troisième conférence permet de dresser un panorama des démarches d'investigation dans le cadre européen. C'est le point de vue institutionnel qui est privilégié. Elle montre qu'un certain nombre d'obstacles existent dans tous les systèmes éducatifs : le consensus autour de ce que sont que les démarches d'investigation est incomplet&nbsp;; l'articulation entre investigation et transmission de savoirs constitue un point aveugle&nbsp;;  les formes de l'évaluation, notamment en France, sont  rarement en cohérence avec les démarches ; l'activité des élèves et les conséquences en termes d'apprentissage restent à étudier.

La journée est clôturée par le directeur de l'IUFM qui met en avant les compétences internes à l'institution dans la formation des enseignants ainsi que la nécessaire connexion entre la formation et la recherche.

h2. La matinée institutionnelle

Elle rassemble environ 30 personnes spécifiquement invitées à échanger. Le questionnaire établi par les partenaires germaniques (Kiel) et adapté au cas français leur avait été envoyé avant la rencontre afin de cadrer les débats autour de quatre questions : la définition de la démarche d'investigation en tant que stratégies d'enseignement&nbsp;; la part de ces démarches dans les parcours scolaires&nbsp;; la forme de l'évaluation et son adéquation avec les démarches d'investigation ; les politiques éducatives en cours afin d'améliorer la place et la fonction des démarches d'investigation.

La matinée est ouverte par les partenaires français de S-TEAM qui montrent leur apport spécifique à la réalisation du projet : résultats de recherche sur le travail collectif enseignant  (L.S.E.) ; connaissances sur les démarches d'investigation mises en œuvre par les enseignants (ICAR-CNRS)&nbsp;; conception et usage des ressources en ligne (CREAD).

Un chercheur germanique, partenaire de S-TEAM, présente le programme SINUS-TRANSFER. Grâce à un fort engagement des décideurs politiques ce programme a permis d'améliorer significativement les résultats des élèves allemands aux évaluations internationales. Ce programme promeut la diffusion des démarches d'investigation à travers la formation continue, le travail collectif enseignant et l'accompagnement des établissements scolaires par des équipes de recherche.

Une première table-ronde permet de présenter le point de vue de l'institution à travers les arguments d'une l'inspectrice générale, du coordinateur des IA-IPR de l'Académie de Grenoble et du représentant du Rectorat de Lyon. Trois idées peuvent être retenues&nbsp;: le besoin de recherche pour comprendre l'activité des enseignants et des élèves lors des séances fondées sur les démarches d'investigation&nbsp;; la fréquence rapide des changements de priorité nationale qui fait que les acteurs demeurent peu longtemps tournés vers un même objectif&nbsp;; l'existence de solides réseaux de réflexion et de formation à propos de l'enseignement des sciences.

Une deuxième table ronde permet de présenter les idées des collectivités territoriales avec les interventions d'une députée de Grenoble et d'un responsable municipal&nbsp;; un élu local et régional a dû malheureusement s'excuser pour un problème d'agenda. Les points à retenir sont&nbsp;: la volonté de faire face au déficit d'une culture scientifique de base qui amplifie une perte de confiance dans la science comme source de progrès social, sanitaire et sociétal ; l'existence d'initiatives locales pour promouvoir les cursus scientifiques. Deux sont présentées&nbsp;: le projet d'un lycée scientifique ouvert aux jeunes issus des quartiers en politique de la ville intéressés par les sciences&nbsp;; une action d'accompagnement dans l'enseignement supérieur d'élèves boursiers titulaires de baccalauréats professionnels ou technologiques avec mention.

Une troisième table ronde regroupe les universitaires : le directeur du L.S.E et celui de l'IUFM&nbsp;; les responsables des universités partenaires ont dû malheureusement s'excuser pour des problèmes d'agenda. Plusieurs idées ressortent. D'abord, la nécessité d'interroger le lien qui est fait dans les écrits européens entre les démarches d'enseignement et l'orientation des élèves : il est vraisemblable que la désaffection pour les sciences ne résulte pas uniquement d'un problème scolaire. Ensuite, l'appel à la tenue de conférences de consensus à propos des démarches d'investigation afin de mettre d'accord la communauté sur leurs caractéristiques et leurs effets. Enfin, l'importance cruciale des formations enseignantes, initiales ou continues, afin d'espérer voire mettre en place des démarches d'enseignement aussi complexes que celles qui sont prônées par les textes officiels, à travers les démarches d'investigation ou l'intégration des enseignements des sciences.

h1. Les participants

Les 123 inscrits sont issus de toute la France de sorte que 16 équipes de recherche sont identifiées parmi les inscrits. Un certain nombre de personne a participé à la journée principale sans inscription.

Les inscrits se répartissent ainsi.

h1. Les prolongements des journées


h2. Le questionnaire de satisfaction

Un questionnaire de satisfaction a été mis en ligne un mois après les journée. Le taux de retour est de : 31&nbsp;%. Au dépouillement, en observant les dates de réponse, on constate qu'elle se situe pour 80% dans les deux jours suivant l'envoi des courriels d'annonce ou de rappel du questionnaire&nbsp;; faire 2 rappels au lieu d'un seul aurait donc augmenté le taux de réponse. 82 % des répondants sont satisfaits ou très satisfaits des journées. En citant des trois items les plus cotés pour chaque question, ce score se décompose ainsi  :
| *Satisfaction par rapport au contenu* || 68% | Information sur le 				projet S-TEAM et contact des responsables du projet |
| 63% | Contenu des 				conférences |
| 58% | Contenu des 				communications |
| *Satisfaction par rapport au déroulement* || 92% | Modalités 				d'inscriptions, d'accueil et d'information |
| 85% | Pause et repas |
| 78% | Informations avant 				les journées |
| *Les acquisitions durant les journées* || 68% | Les aspects 				collectifs du travail enseignant |
| 53% | Les politiques 				publiques en matière d'enseignement des sciences |
| 48% | La dynamique 				européenne concernant les démarches d'investigation |
| *Les projets personnels qui découlent des 				journées* || 85% | Contribuer à une 				réflexion visant à mieux comprendre les démarches 				d'investigation |
| 82% | Contribuer au 				développement de formations sur les démarches d'investigation |
| 80% | Renforcer les 				pratiques collectives dans le travail enseignant |
| *Les suites à donner* || 89% | Mettre en ligne le 				contenu des conférences |
| 76% | Publier les actes 				des journées dans un ouvrage |
| 58% | Reproduire des 				journées identiques tous les ans |

h2. La mise en ligne des conférences

Un espace dédié aux journées est créé sur le site de l'IUFM avec un lien à partir du L.S.E. Les participants aux journées et les visiteurs du site peuvent retrouver l'actualité du programme S-TEAM, les vidéos des conférences et les diapositives des conférenciers.

h2. La publication des actes

La publication sous forme d'un ouvrage est en cours. 

Image Removed
Photo Parc national de Chartreuse par Jane Riddell

Les démarches d'investigation dans l'enseignement scientifique
Effets du travail collectif enseignant sur les pratiques de classe
Effets des pratiques de classe sur les acquisitions des élèves

1. Présentation du projet (télecharger ici)
Les journées S-TEAM 2009 constituent le lancement pour la France du projet européen S-TEAM. Ce
projet implique quinze pays durant trois ans. Il concerne l'enseignement scientifique au sens large du
terme, en incluant les mathématiques, les sciences de la vie et de la Terre, la technologie, la physique
et la chimie. Il vise trois objectifs principaux :
• Améliorer la motivation, l'attitude et les acquisitions des élèves européens en ce qui concerne
l'apprentissage des sciences et l'accès à la culture scientifique.
• Permettre à de nombreux enseignants de transformer leurs stratégies d'enseignement en dé-
veloppant des démarches d'investigation conduites par les élèves.
• Encourager les enseignants en proposant des formations et des ressources favorables à l'im-
plantation de stratégies d'enseignement fondées sur des résultats de recherche.
Le projet français, qui représente un des volets du projet européen, concerne plus particulièrement
l'impact du travail collectif enseignant. Il vise deux objectifs :
• Partir des résultats des recherches actuelles sur la collaboration enseignante afin d'assurer
l'implantation des stratégies d'enseignement visées par le projet S-TEAM.
• Utiliser la collaboration enseignante comme moyen de promouvoir l'accès à la culture scienti-
fique, l'équité et la considération de la diversité des élèves en classe de sciences.
L'objet de ces journées S-TEAM 2009 est donc représenté, d'une part, par les dispositifs de forma-
tion ou de travail collectif et leur impact sur les pratiques enseignantes et, d'autre part, par les pra-
tiques des enseignants de sciences et leurs effets sur les élèves.
2. Public concerné
Le projet S-TEAM fait appel aux recherches sur la didactique, l'ingénierie de formation, la collabora-
tion enseignante, les pratiques d'enseignement et les apprentissages scolaires en ce qui concerne les
sciences dans l'enseignement secondaire. Dans cette perspective, les intervenants et les participants
seront représentatifs des différents acteurs de l'enseignement des sciences :
• Des universitaires et des chercheurs, y compris de jeunes chercheurs et des chercheurs impli-
qués dans des coopérations internationales.
• Des professionnels des services académiques, à la fois des cadres, des acteurs de la forma-
tion des enseignants, initiale ou continue, et des praticiens de terrain.
• Des partenaires de l'école, des associations, des institutions ou des collectivités locales.
Des acteurs des médias concernés par l'information à propos des sciences et de leur enseigne-
ment.
3. Objectifs des journées S-TEAM
Atteindre les objectifs du projet S-TEAM constitue une réelle difficulté, quand bien même ces objec-
tifs découlent de recherches et de projets existants. En effet, les stratégies d'enseignement fondées
sur l'activité des élèves introduisent de la complexité et de l'incertitude dans l'activité enseignante
puisqu'elles impliquent souvent plus de recours au matériel, de travail en groupes des élèves, de dis-
positifs de prise en compte de leur diversité face aux apprentissages, d'évaluation formative ou de
partenariats. Concernant l'enseignement scientifique, la considération de la diversité des élèves
prend, par exemple, une coloration particulière puisque les recherches actuelles montrent que les dif-
férences de genre ont un impact sur les attitudes des élèves vis-à-vis des sciences et sur leur trajec-
toire scolaire. Le premier objectif des journées S-TEAM est alors d'identifier les stratégies d'ensei-
gnement des sciences qui, tout en développant les activités d'investigation des élèves et en tenant
compte de leur diversité, provoquent des apprentissages de meilleure qualité, en termes de connais-
sances, de compétences ou d'attitudes vis-à-vis des sciences.
Afin de tenter de surmonter cette complexité et ces incertitudes et de maîtriser de nouvelles pra-
tiques, les enseignants sont conduits à collaborer. D'autres projets européens, tels que Mind the Gap
ou SINUS, ont montré l'efficacité de cette collaboration enseignante. Ces projets sont souvent fondés
sur des dispositifs de formation qui stimulent les échanges entre les enseignants, les formateurs et les
chercheurs. Le projet S-TEAM vise à aller plus loin dans le développement de ressources pertinentes,
dans la diffusion de ces méthodes et dans l'évaluation de leur impact. Le deuxième objectif des jour-
nées S-TEAM est alors de comprendre les conditions qui font que le travail collectif enseignant, les
ressources pour l'enseignement ou les dispositifs de formation conduisent à une modification des pra-
tiques et des acquisitions des élèves, en termes de connaissances, de compétences ou d'attitudes
vis-à-vis des sciences.
Un tel projet nécessite le recours à des méthodes d'évaluation qui soient à la fois validées sur le
plan scientifique et adaptées aux conditions pratiques locales d'exercice du métier. Ici encore, en Eu-
rope, des instruments ont été testés pour évaluer la modification des approches et des pratiques en-
seignantes ou les transformations des élèves en termes d'attitude, de motivation, d'estime de soi, de
métacognition, d'acquisitions scolaires ou d'accès à la culture scientifique. Le troisième objectif des
journées S-TEAM est donc d'ordre méthodologique et consiste à confronter les instruments d'analyse
des différents aspects de l'enseignement des sciences : d'une part, la catégorisation des pratiques en-
seignantes ; d'autre part, l'évaluation de la motivation, l'estime de soi, la métacognition et l'attitude des
apprenants vis-à-vis des sciences.
Le but général de ces premières journées S-TEAM sera donc de faire le point sur les dispositifs de
formation, initiale et continue, et de collaboration des enseignants en ce qui concerne l'implantation de
méthodes d'investigation en sciences et sur les modalités d'évaluation de leurs effets. Cette première
étape permettra, à la fois, de faire connaître le projet et de mobiliser le réseau des chercheurs et des
équipes de terrain travaillant sur la question de l'amélioration de l'enseignement des sciences. En-
suite, durant les trois années du projet, notre intention consistera à diffuser les résultats des travaux
sur les stratégies d'enseignement des sciences fondées sur les démarches d'investigation et à renfor-
cer le réseau des chercheurs et des professionnels concernés par ces questions.
4. Appel à communication
Les communications seront en relation avec l'un des trois objectifs mis en exergue dans le texte de
présentation ci-dessus. Chaque objectif correspond à un atelier dont les thèmes sont :
• Atelier 1- Les démarches d'investigation dans l'enseignement des sciences : formation, res-
sources, mises en pratique, effets.
• Atelier 2- Les conditions du travail collectif enseignant : formation, ressources, mises en pra-
tique, effets.
• Atelier 3- Les instruments des recherches concernant l'enseignement des sciences : méthodo-
logies du recueil et du traitement des données.

 Modification d'Andrée: Atelier 3- Les instruments des recherches concernant l'enseignement des sciences : l'évaluation de l'attitude des enseignants ou des élèves, des pratiques d'enseignement ou des performances scolaires.

...